Supervision QA quand le prestataire teste pour vous

Votre équipe veut mettre en production, mais chaque vérification révèle une surprise. Si le prestataire gère la QA, gardez un œil indépendant sans tout retester.

Signes d’alerte QA

• Preuves de test absentes ou inaccessibles
• Scénarios critiques uniquement testés à la main
• Défauts découverts en production faute de critères d’acceptation clairs

Contrôle en trois étapes

1. Définir les critères d’acceptation en langage simple (« L’utilisateur charge un CSV de 5 Mo et voit un message de succès en 3 secondes »).
2. Exiger une preuve par build : capture, log automatisé, liste de défauts. Sans preuve, pas d’approbation.
3. Faire un spot-check ciblé de 30 minutes sur le parcours le plus risqué et noter les écarts.

Rapport hebdo à demander au prestataire

• Couverture des tests (auto vs manuel)
• Défauts ouverts avec statut, responsable et ETA
• Tests non fonctionnels réalisés (performance, sécurité)

Modèle de décision rapide

Critère respecté ? | Preuve jointe ? | Défaut bloquant ? | OK pour mise en prod ?
Oui               | Oui             | Non               | Oui
Non               | Non             | n/a               | À corriger avant go-live

Quand solliciter un tiers

• Les mises en production glissent pour des problèmes « découverts tard »
• Le prestataire refuse de partager les données de test brutes
• Vous devez sécuriser un go-live critique

Nous auditons l’approche de test, identifions les trous dans la raquette et aidons le prestataire à les combler rapidement. Vous livrez sereinement et vos utilisateurs évitent les mauvaises surprises.